Pourquoi il est essentiel de former ses nouveaux collaborateurs et commerciaux ?
- ev.eil-toi
- 14 avr.
- 2 min de lecture

Non le management et le développement commercial ne sont pas incompatible avec l'accompagnement et l'écoute active !
L’accompagnement au cœur de la croissance humaine et chiffrée de l’entreprise.
Trop souvent encore, l’arrivée d’un nouveau collaborateur s’apparente à un "plouf" dans le grand bain… sans bouée. Pourtant, former et accompagner ses équipes dès leur arrivée est l’un des meilleurs leviers pour stimuler à la fois la performance, la motivation, et la fidélisation.
Former, c’est investir
Un salarié bien formé, c’est :
Un collaborateur plus autonome, plus confiant, plus engagé,
Une montée en compétence plus rapide,
Moins d’erreurs, plus de résultats.
Cela vaut d’autant plus pour les commerciaux, souvent en première ligne de l’image et de la croissance de l’entreprise. Un bon commercial, c’est un professionnel qui sait écouter avant de vendre, comprendre avant de convaincre. Et cela, ça se travaille.
L’accompagnement : levier de croissance et de bien-être
Trop longtemps opposés, management et bienveillance peuvent – et doivent – cohabiter. Un manager inspirant, ce n’est pas celui qui contrôle tout. C’est celui qui fait grandir son équipe, qui sait déléguer, écouter, valoriser.
Le leadership d’aujourd’hui est un leadership d’accompagnement.
On ne tire pas sur une fleur pour la faire pousser. On l’arrose, on l’éclaire, on la protège.
Une entreprise qui accompagne, c’est une entreprise qui avance
Quand les équipes se sentent soutenues, comprises, valorisées, elles s’investissent. Et les résultats suivent :
Moins de turn-over,
Plus de cohésion,
Une meilleure image,
Et des chiffres… qui montent !
Former et accompagner : un duo gagnant
Former, ce n’est pas simplement transmettre des outils. C’est transmettre une vision, une culture, des valeurs.
Accompagner, ce n’est pas "materner", c’est manager avec sens et humanité.
En somme, l’accompagnement n’est pas un bonus : c’est une stratégie d’avenir.
Et vous, quelle place donnez-vous à l’accompagnement dans votre entreprise ?
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